Contrairement à la très grande majorité des albums live qui sont le plus souvent enregistrés pendant des concerts, le Live at Pompeii de Pink Floyd est joué devant un théâtre vide de ses spectateurs. Ceci renforce encore l'impression d'un son totalement pur, idée récurrente chez Pink Floyd. Le film s'avère donc être « une sorte d'anti-Woodstock » (Adrian Maben), où le but serait de se focaliser sur la musique, et rien que sur la musique, laissant de côté « les réactions du public ».
En 2003 sort une version DVD dite « director's cut », qui dure 92 minutes : y ont été ajoutées des séquences en images de synthèse représentant l'espace, Pompéi et sa destruction par les laves du Vésuve, ainsi que des images provenant d'Abbey Road et des missions Apollo. Le DVD contient également le film de 1972 (60 minutes), mais avec comme générique le battement de cœur, comme la version longue de 1974.