Roulant à travers les rues du vieux Porto, le réalisateur Manoel de Oliveira se souvient d'une promenade faite la nuit, à sa demande, quand il avait neuf ou dix ans, alors qu'il rentrait à la maison avec sa mère après une soirée au théâtre.
Il se rappelle la ville de sa jeunesse au moyen de photographies ou de gravures qu'il oppose aux images d'aujourd'hui. Il évoque des rencontres, des conversations, des promenades au bord du fleuve, les endroits à la mode, la plage du Molhe, à Foz.