La musique engendre des images mentales. Un périple en quatre parties : paysage désolé et mélancolique d'abord, voix d'outre-tombe, le fameux vertige... Puis, sortis des limbes, on navigue entre romantisme cotonneux et brutalité sèche, jusqu'à la fin d'une hérôïne que l'on savait devoir mourir.La troisième partie est plus dansante. Tout se passe en intérieur, peut-être une boîte de nuit, composée de quatre pièces, chacune moins éclairée que la précédente. La quatrième partie est plus intime, désolée, pleine de larmes affectives et d'abandon pur.