Ce film se propose d'extraire l'orchestre symphonique de son abstraction, de lui donner du corps, de l'humaniser, pour prendre la mesure du travail qui précède et accompagne leconcert, tout ce qui en conditionne l'existence. Le film se situe résolument du côté du travail, de ses conditions, de ses spécificités, finesses et drôleries. Pour donner à la magie musicaletout son soubassement logistique, en renforcer la force émotionnelle, mesurer toute l'envergure de ce phénomène de raffinement, à tous les étages de son élaboration.