Il faut attendre une heure avant que la réalisatrice (...) nous laisse apercevoir le premier hardos chevelu. Une heure géniale à écouter les paysans du cru répéter tout ce que l'on raconte dans la presse à propos du jeune (...) et à la fin (...), une chose sera sûre : comme dans tous les bons films de guerre, les deux camps ennemis se ressemblaient comme deux gouttes d'eau.